Offenbach |
||||||||||||||||||
En collaboration
avec le lycée Voltaire de Wingles, l'Ensemble Musica créera
une opérette bouffe de J. Offenbach. La création aura lieu
les 9 et 10 juin 2001au complexe omnisport et socio-culturel de Auchy-les-Mines,
puis sera reprise les 14, 15, et 16 décembre à la maison
de la culture et de la communication de Sallampins. |
||||||||||||||||||
L'auteur
et l'uvre
Fils d'un Cantor de la synagogue de Cologne, Offenbach apprend le violoncelle
avec sa mère (il écrira ses premières pièces
pour cet instrument). Envoyé par son père à Paris
en 1833, il est engagé l'année suivante dans des orchestres
d'opéra-comique. Ses premières tentatives dans le domaine
de l'opérette restent sans succès (Pascal Chambord, 1839),
et l'on retrouve Offenbach chef d'orchestre à la COMÉDIE-FRANÇAISE,
où il anime les entractes. En 1855, il prend la direction d'un
petit théâtre qu'il baptise Les Bouffes-Parisiens, dans
lequel il connaît ses premiers succès avec des opéras-comiques
ou opéras bouffes en un acte : 24 pièces de ce style sont
écrites en 3 ans Mesdames de la Halte avec A. Lapointe comme
librettiste, est écrit en 1858. Déjà, tout Offenbach
est dans cette oeuvre. Dans les années 60, Offenbach se consacre
à des oeuvres |
||||||||||||||||||
plus importantes qui -assureront sa célébrité. Il fait appel à des librettistes dont ta verve parodique se soucie peu de la vraisemblance de l'action, et laisse libre cours à son génie ironique et frondeur. De cette époque datent ses chefs-d'uvre, écrits sur des livrets de Henri Meilhac et Daniel Halévy : La Belle Hélène (1864), Barbe-Bleue (1866), La Vie parisienne (1866), La Grande-Duchesse de Gerolstein (1868), La Périchole (1868). Offenbach est alors au faîte de sa carrière, sa renommée est considérable La scène se passe (en principe) aux halles de Paris. Un tambour-major se pavane dans les allées, cherchant à séduire une des marchandes pour s'emparer de ses économies. Mais nos " dames de la halle " s'intéressent davantage à un jeune marmiton venu lui-même au marché pour y rencontrer une gracieuse marchande de fruits abandonnée depuis sa naissance Bref, par un concours ide circonstances que nous vous laissons imaginer, tout est bien qui finit bien ! |
||||||||||||||||||
Haut de page |